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CAP - Saison 2011 - Synthèse Compétition - Victor NETO & Denis DEROCHES
COURSE A PIED   2011 - Compétitions
 

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Sainte-Lyon

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CONSIGNES
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LEGENDES
Satisfait
Mitigé
Déçu
Récompense reçue

 
Trail dimanche 19 juin 2011   
NASBINALS (48) Courir En Aubrac 3° édition Acces Site Web
Marathon des Burons
07h15 48 km 1650 m Arrivants : 543
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 BRINGER Patrick 03:38:14 13,2 SEM 1975 Team Platinium Sigvaris
2 CHARTOIRE Fabien 03:40:52 13,04 SEM 1976 Running Shop Adidas
3 ROUFFIANGE David 03:50:29 12,50 SEM 1987
13 DEROCHES Denis 04:12:28 11,41 SEM 1979 Non Licencié
38 NETO Victor 04:51:49 9,87 V1M 1971 AS IBM Lyon
Aubrac Ultra Trail
04h15 95 km 4100 m Arrivants : 219
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 GUICHARD Gilles 10:13:06 9,10 V2M 1961 Atoutsports
2 NAIN Sebastien 10:36:58 8,76 SEM 1972 Team Platinium / Compressport
3 BRIGNON Matthieu 10:41:24 8,70 ESM 1989
Cap Aubrac
07h25 27 km 690 m Arrivants : 445
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 PIGNARD Jeremy 01:51:50 15,02 SEM 1985 FAC Andrezieux
2 BREUIL Thierry 02:04:14 13,52 SEM 1972 Adidas
3 BELLIL Laïd 02:05:34 13,38 SEM 1977 AC Narbonne Mediterranee
La Capucine
08h15 11 km 300 m Arrivants : 141
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 ROCHE Fanny 00:56:22 9,58 JUF 1992
2 MADIOU Carole 00:56:33 9,55 SEF 1987 S/L Montpellier UC
3 NASTORG Genevieve 00:56:44 9,52 V1F 1967 AC Gigouzac ST Germain
Trail Des Capucins
08h45 18 km 480 m Arrivants : 485
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 AZZAZ Karim 01:16:39 14,09 SEM 1973 Wellness Avignon
2 CALVO Jerome 01:20:29 13,42 SEM 1976 USCA Lescure
3 BESSIERE Michel 01:23:00 13,01 SEM 1981

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

C'est avec beaucoup d'envie que je me rends sur cette course, contrairement aux semaines passées où je me sentais peu motivé.
Au fil des semaines, la confiance est petit à petit revenue grâce à des semaines assez chargées en kilométrages. C'est souvent comme cela que je fonctionne : il faut que j'en fasse beaucoup (à mon niveau) pour me sentir capable de bien courir.

A Annecy j'avais voulu rattraper le retard trop près de la course et j'étais arrivé je pense crevé ; cette fois, comme pour le marathon de Val de Reuil et la SaintéLyon j'ai surement mieux gérer la « préparation », toujours plus intuitive que très cadrée me concernant. Toujours est-il que j'arrive avec l'envie de « m'arracher », ce qui est déjà bon signe. Le seul hic est une douleur m'ayant prise après mon dernier footing jeudi soir dans l'articulation de la hanche droite, que j'ai déjà eu, mais qui m'inquiète quand même un peu.

Les conditions sont vraiment fraiches au départ : 5°C au thermomètre de la voiture, petite pluie, ciel chargé...rien de bien engageant. Les chemins seront gras mais je choisis de prendre quand même ma paire de chaussure à tout faire, plutôt route, sachant le parcours roulant dans l'ensemble.

Au départ, les favoris, principalement Clermontois, s'échappent logiquement, et je me retrouve assez vite aux côtés de Victor, non loin de Laurence Klein tout de vert et noir vêtue, et que je décide autant que faire se peut de prendre dès le départ comme point de repère.

Les premiers km sont effectivement roulants: grand chemins larges et non techniques, petits faux plats montants et descendants, exactement le genre de profil type SaintéLyon qui me plait.
Je décide de tenter de partir un peu devant le groupe « Klein » en accélérant légèrement, et après quelques hectomètres je me retourne et vois que Victor n'a pas emboité le pas. Il est même plutôt loin. Je me dis alors qu'il préfère partir prudemment, ne pensant encore pas à ce moment que son pied douloureux pouvait le gêner.
Je m'échappe donc, et me fais vraiment plaisir sur les 25 premiers km : parcours magnifique et très varié, des passages très roulants, puis des chemins plus techniques, en descente, avec pierres au sol : j'adore. Je hausse encore le rythme avec quand même dans un coin de la tête les conseils de coureurs connaissant le parcours et ayant prévenus d'une deuxième partie plus cassante. Mais qu'importe, je continue à me faire plaisir en descente et sur le plat et de doubler pas mal de coureurs, tant et si bien que j'arrive au ravitaillement du 25ème km à 13,2 km/h de moyenne. On m'y annonce 6ème, ce qui me surprend beaucoup car je ne pensais quand même avoir remonté autant de personnes. Je sais aussi parfaitement que les km qui suivent me seront beaucoup moins favorables et que les coureurs à mes trousses vont irrémédiablement me redépasser. Du km 25 au 35ème, les passages sont plus techniques et montants, et les paysages et passages plus sauvages encore, on passe des cours d'eau, des chemins boueux, beaucoup de monotraces en forêt, des paysages et chemins très variés. Je n'ai de cesse de me retourner guettant « ma poursuivante » mais elle n'apparaitra pas avant le km 30. La savoir derrière me pousse à maintenir un rythme le plus régulier possible, d'autant qu'il semble que nous n'aimions pas trop les montées tous les deux. Nous allons faire plus de 10 km seuls tous les deux, moi devant et elle entre 50 et 100 m derrière. Nous marchons aux mêmes endroits et avons le même rythme sur les passages roulants. Elle se rapproche un peu à l'approche du dernier ravito sur une grosse côte en plein près le long d'une piste de ski mais je me force à courir pour rester encore un peu devant. Je pense alors qu'elle va s'échapper en se faisant ravitailler par Olivier Guy son suiveur, mais en fait elle prend autant de temps que moi et nous repartons avec les mêmes écarts.
Notre route commune, seuls au milieu des prairies, continue lorsque, en sens inverse, je reconnais T. Breuil en footing, venant visiblement la suivre après sa course de 27 km du jour. Effectivement il se met à ses côtés, 50 m derrière moi, et tous deux commencent à discuter des perfs de chacun. Il me crie même « à gauche ! » voyant que je m'apprête à partir du mauvais côté au milieu d'un alpage. Les deux se rapprochent de moi et avant que T.Breuil ne regagne le village par un chemin plus court nous somme tous les trois presque côte à côte sur un passage de bitume. Lui tourne à gauche et nous à droite et L.Klein me dit alors : « bon ben je crois qu'on va finir ensemble, hein, qu'est ce que t'en penses?! » avec le sourire. Je lui dis que ca sera surement dur pour moi car je commence à avoir du mal à rester à ses côtés sur ces longues lignes droites de route. J'en profite quand même pour discuter un moment puis lui dis de partir car je ne peux plus suivre au risque d'exploser. Elle s'échappe doucement mais surement et je la verrais jusqu'au somment du dernier mûr de la course en pleine pente dans un pré, qu'elle termine quand je l'attaque seulement depuis quelques dizaines de mètres.
En haut de cette dernière difficulté, il reste environ 4 km je crois. Toujours personne du marathon en vue derrière et je commence à doubler les derniers du 27 km, c'est motivant, car je commence à trouver le temps long, les douleurs aidant.

Je termine sur un bon rythme dépassant beaucoup de monde du 27 km et je fais la dernière descente sur Nasbinals à vive allure pour terminer en moins de 4h15.

Au final une 14ème place que je n'aurais osé espérer, une douleur à la jambe qui m'a laissé tranquille toute la course mais qui s'est réveillée sitôt la ligne passée, une fois que j'étais à l'arrêt, et surtout énormément de plaisir sur cette course au sujet de laquelle j'avais depuis des années des à priori de « grosse machine » mais qui m'a vraiment séduit, tant au niveau du parcours, de l'organisation, que de l'ambiance « authentique » et familiale préservée. A refaire c'est certain, avec un peu de soleil, ce serait parfait. Seul bémol du weekend, le problème podologique de Victor qui n'a pu faire la course de façon compétitive, mais qui à quand même ardemment tenu ces 48 km. Espérons que ces problèmes se régleront vite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Victor
 
 

En arrivant à Nasbinals, samedi après-midi, la douceur des paysages me donne vraiment envie d’aller courir. Il me tarde d’être le lendemain pour me lâcher. Je suis plutôt confiant, alors que la veille et l’avant-veille, j’étais encore incertain suite à une douleur gênante sous le talon gauche qui s’avère être une aponévrosite plantaire. Ce samedi je ne ressens pratiquement plus de douleur. Ca devrait donc aller demain. Denis arrive lui aussi inquiet avec une douleur à l’articulation de la hanche et décide d’aller consulter l’équipe d’ostéopathe. Je l’accompagne et tant que j’y suis-je leur parle de mes douleurs. Ils me confirment l’aponévrosite, enlèvent diverses tensions, afin de soulager mes articulations plantaires.

Dimanche matin, le départ se fait sous une météo plus que morose, avec 5° au départ, du brouillard, de la grisaille, qui fait suite à la pluie une bonne partie de la nuit. Dommage, quelques degrés de plus aurait rendu le parcours encore plus joli.

Ca part plutôt tranquillement, ce qui est normal vu la distance. Tant que le sol est stable, mes pieds sont au rendez-vous. Je suis avec Denis en ce début de course et malgré le froid, le cadre est grandiose. Dés que le sol devient irrégulier, la douleur revient. La moindre pierre, ornière ou branche est vivement ressentie. Et comme si cela ne suffisait pas déjà, je sens mon pied droit pas très solide, suite à une foulure de cheville dimanche dernier. On est encore dans les tous premiers kilomètres. Ca promet pour la suite. Je suis contraint de ralentir sérieusement ma vitesse. J’hésite à m’arrêter, mais ça me contrarie… Du coup comme le profil reste tout de même roulant (pour le moment), je continue, avec l’objectif de me faire plaisir et me donne 5 heures.
Dés qu’il y a des cailloux ou que c’est accidenté, je suis quasiment à la marche. Je me reprends sur les portions goudronnées ou les larges chemins stables. Je peine un peu dans la longue descente vers Saint-Chely D’Aubrac, à cause des cailloux, notamment sur le GR de Saint-Jacques de Compostelle, où nous croisons de nombreux pèlerins.

Au ravitaillement à mi-parcours, je m’arrête 5 bonnes minutes. J’en profite pour récupérer m’hydrater, manger…

Nous attaquons ensuite la portion la plus technique et délicate de l’épreuve sur environ 10 km. Le profil est en grande partie montant, sur des chemins techniques et étroits, le plus souvent en sous-bois, et parfois en remontant des pistes de ski. Je marche beaucoup et suis obligé de faire attention où je pose les pieds. Il y a beaucoup de boue qui nous valent parfois des pieds totalement ensevelis. On a aussi à faire à des passages à gué. Je suis dans mon allure, puisque je croise longtemps les mêmes personnes avec qui on fait le yo-yo. Vu que je suis dans un rythme inférieur à l’habitude, je n’ai pas de fatigue musculaire, ce qui me permet de revenir régulièrement et de garder la constance.

Le temps me parait tout de même long. La course en elle-même n’est pas très difficile. Les côtes ne sont jamais très longues. La principale difficulté reste la gestion de la durée. Je m’accroche à mon objectif de 5h.

A moins de 10 km, je ressens une douleur aigue au niveau des veines derrière les genoux. Ce sont mes Compressport Q for Quad qui serrent ne me conviennent pas face à la durée. Je suis contraint de m’arrêter pour en retirer une. Je ne les remettrai plus, vu que j’ai l’impression qu’à chaque fois que je les ai mis, ils m’ont fait plus de mal que de bien.

Je termine à une honorable place, satisfait d’avoir pu finir et de m’être accroché, malgré cette douleur qui est venue quelque peu ternir cette épreuve. Je me dirige vers les classements, super content de découvrir la belle performance de Denis qui revient au sommet de sa forme après quelques longs mois de doutes et de résultats mitigés. Maintenant il va falloir que je sois patient, et que je laisse totalement de côté la course à pied pendant au moins quinze jours, afin de ne pas hypothéquer ma participation à la 6000D fin juillet… Ca ne va pas être facile...

 
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CLERMONT-FERRAND Courir à Clermont 21° édition Acces Site Web
5 km
19h30 4,7 km 20 m Arrivants : 1972
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 WANBUGU Wilson 00:13:53 20,31 SEM 1982 Kenya
2 HAURICHENKA Alexey 00:14:19 19,70 SEM 1978  
3 MORISSEAU Brice 00:14:31 19,43 ESM 1991 Clermont Athletisme Auvergne
28 DEROCHES Denis 00:16:32 17,06 SEM 1979 Non Licencié
10 km "Elite" & "Open"
20h15 & 21h 10 km 70 m Arrivants : 2494
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 MELLY Paul 00:28:45 20,87 SEM 1982 Kenya
2 NIZIGIYIMANA Ezechiel 00:28:46 20,86 SEM 1988 (Burundi) Asvel Villeurbanne
3 NDEMI Abel maina 00:28:54 20,76 ESM 1989 (Kenya) Athleg Provence
1333 NETO Victor 00:51:54 11,56 V1M 1971 AS IBM Lyon
2088 GUITTER Hervé 00:59:25 10,10 V1M 1962 AS IBM Lyon
2092 JENVRIN Christophe 00:59:27 10,09 V2M 1961 AS IBM Lyon
2321 BESSAC Beatrice 01:04:26 9,31 V1F 1962 AS IBM Lyon
2323 REURE Jean-Marc 01:04:26 9,31 V1M 1965 AS IBM Lyon
2324 THOME Michel 01:04:26 9,31 V1M 1971 AS IBM Lyon
2327 BERILLON Laurent 01:04:27 9,31 V1M 1966 AS IBM Lyon
2342 VILLIERE Fabien 01:04:37 9,29 SEM 1973 AS IBM Lyon

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

Enfin de bonnes sensations et un meilleur chrono qu'en 2010 sur une course (certes aidé par un temps moins lourd que l'an dernier).

Les jambes ont répondu présente ce vendredi soir malgré une semaine avec pas mal de km, mais surtout en footing.
Il faut partir très vite pour s'échapper de la foule au départ, et au bout de l'avenue Julien, les positions commencent à se dessiner.
Je décide d'essayer de suivre Christophe Monturet, qui, lors des 5 km de Chappes 2011 et 2010 je crois, m'avait « cueilli » dans les 500 derniers mètres.
F. Bulidon est aussi là avec Charline Belledent juste en retrait accompagnée de son chevalier servant qui nous demandera à plusieurs reprises de lui laisser « la porte ouverte » dans les virages à angle droit.
Je peine un peu dans le seul faux plat montant du parcours au km 4,2 environ, et perds 15/20 m sur C. Monturet notamment.
F.Bulidon nous a déjà faussé compagnie depuis un bon km et pour ma part je suis mentalement boosté en constatant au GPS que ma vitesse est au dessus de mon record sur la distance.

0m de ma ligne, un jeune coureur que j'ai déjà croisé pas mal de fois termine au sprint avec son supporter, habituel lui aussi, qui termine avec lui en hurlant des encouragements. Je ne cherche pas à l'accrocher ce que je regrette à posteriori, mais je réagis trop tard et constate alors que les jambes répondent bien. Je termine les 100 derniers mètres presque à fond et termine à 1 seconde de C. Monturet et C. Belledent qui m'avaient distancé dans le faux plat.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Victor
 
 

C'est en tirant une joelette pour l'Association Everest En Sable et pour l'occasion du centenaire d'IBM que j'ai fait cette édition de Courir à Clermont. Pour l'occasion nous étions près de 40, autour de 5 joelettes.

J'ai retrouvé Moussa, qui avait participé à l’édition 2010. Motivé comme tout, il a pris la compétition à coeur en insistant en permanence pour que l'on accélère.

Afin de ne pas dégoutter quelques néophytes de la course à pied, venus courir avec nous pour participer à cet évènement, nous nous étions fixé au départ de faire les 10 km en 1h15. Nous partons donc dans les derniers, loin de la ligne de départ, que nous franchirons 4 minutes environ après le coup de pistolet. Celui-ci avec la densité de la foule s'avère particulièrement délicat. L'ensemble des joelettes essaye de rester groupé. On s'arrête même pour attendre un équipage en difficulté, sur une joelette qui ne cesse de dérailler. On fini toutefois par avancer, notamment parce que Moussa que nous portons nous incite à aller plus vite.

Nous passons la première des 3 boucles au bout de vigt minutes environ. Ensuite, jusqu'au bout, la foule se fluidifiant, nous allons passer notre temps à dépasser les coureurs individuels. Moussa est émerveillé, il tient à finir en tête des joelettes et nous finissons par rentrer dans son jeu.

Au final, un grand moment de plaisir et de solidarité, une magnifique soirée, à refaire.