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CAP - Saison 2011 - Synthèse Compétition - Victor NETO
COURSE A PIED   2011 - Compétitions
 

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Sainte-Lyon

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LEGENDES
Satisfait
Mitigé
Déçu
Récompense reçue

 
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CREUZIER-LE-VIEUX (03) La Montagne Verte 4° édition Acces Site Web
La Montagne Verte
10h00 17 km 450 m Inscrits : 201
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 BEAUME Benjamin 01:06:41 15,30 SEM 1982 Non Licencié
2 VALLIN Thomas 01:07:52 15,03 SEM 1979 Bellerive Sports Cyclistec
3 VERNET Eric 01:08:22 14,92 V1M 1967 Club Athletic Brioude
6 DEROCHES Denis 01:10:18 14,51 SEM 1979 Non Licencié
8 NETO Victor 01:10:55 14,38 SEM 1971 AS IBM Lyon

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

 
 
1er Senior hors podium

Après une semaine d'entrainement assez chargée, je n'arrive pas très frais sur la ligne et me sens assez fatigué avant même le départ. Les premiers hectomètres confirment mon impression,car j'ai déjà la sensation d'être au taquet pour maintenir un rythme qui me permet d'être dans les 4 ou 5 premiers.

Victor est juste devant mais je peine pour rester au contact. Je lui repasse devant en bas d'une première descente mais il me rattrape dans la côte qui suit, et relance sur le bitume pour dépasser un coureur parti trop vite qui explose déjà, au km 1,5.

Je reste à distance sans trop perdre de terrain sur les coureurs devant moi, mais je sens que d'autres coureurs reviennent derrière, notamment Pascal Beurrier, que je sais très motivé car il est sur « ses terres » et n'essaie pas longtemps de l'accrocher quand il me dépasse, de peur d'exploser définitivement.
Je gère comme je peux les km suivants, me fixant pour objectifs de rattraper dans les descentes ou sur les replats les coureurs qui me précédent, car les montées sont pour moi, encore plus aujourd'hui, plutôt laborieuses, car dès que je force, un mal de ventre type «  envie pressante » pour dire les choses pudiquement, apparaît...

A l'approche du ravito, au km 8, Eric Vernet m'a dépassé, et j'ai Victor en visu environ 70/100m devant. Je pense alors que je ne reverrai aucun des deux.
A ma surprise, je me rapproche de Victor dans le km qui suit le ravitaillement, puis le dépasse à l'occasion d'une descente. Il me dit avoir lui aussi mal au ventre, et je lui réponds qu'il me rattrapera surement dans la prochaine montée.
Pour moi la barrière de la mi course étant passée sans trop d' encombre, le mental et la confiance reviennent un peu, la fin approche. Je relance dès que je peux sur le roulant et limite la casse en côte. J'ai même la surprise de rattraper un coureur, Alexandre Malleret, à environ 3,5 km de l'arrivée. On fera d'ailleurs le yoyo jusqu'à l'arrivée ensemble. La dernière côte, réputée la plus raide de la course, est effectivement costaud mais plus courte que ce à quoi je m'attendais. Je la monte intégralement en marchant, me retournant pour voir si mes poursuivants, dont A.Malleret à qui j'ai pris quelques dizaines de mètres , me rattrapent.
C'est le cas car ce dernier franchit le « sommet » juste devant moi et je lui laisse prendre quelques mètres d'avance pour récupérer et pouvoir mieux relancer ensuite. On se tire la bourre jusqu'au bout et je me place juste devant lui pour contrôler un peu l'allure. Bien qu'il se soit montré plus fort sur la dernière côte, je me sens plus à l'aise sur le roulant et en descente et suis en pleine confiance quant au «  sprint » final qui s'annonce.
J'accélère progressivement pour voir s'il veut faire « le sprint » et constate qu'il s'accroche. Je termine donc à fond les 50/70 derniers mètres pour rester devant et franchit la ligne 6e.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Victor
 
 

 
 
3er Senior hors podium

Dans le cadre de la préparation pour la Sainté-Lyon, le calendrier de la région propose deux courses au programme de ce week-end. D’un côté, le Roc-du-Diable à Chatel-Guyon, très technique avec un fort dénivelé et de l’autre un parcours vallonné, la Montagne Verte. Je retiens la seconde option, davantage en phase avec ce que je recherche. Cela correspondra bien à mon souhait, avec globalement, des larges chemins, quelques passages sur le bitume, et le tout sur une alternance permanente de montées et de descente, jamais très longues. Le profil se veut donc rapide et nerveux avec peu de portions plates, et des pourcentages de dénivelé descendant ou ascendant toujours trop importants pour pouvoir récupérer. Avec la pluie des derniers jours, le terrain est rendu glissant, ce qui avec les multiples relances et changements d’allure donne un aspect de cross long à l’épreuve.

Le départ commence par une courte côte suivie d’une bonne descente dans l’herbe, une première occasion pour se lâcher. Benjamin Beaume, déjà vainqueur l’an dernier se détache déjà en compagnie de Pierre Seguin sur le relai. Je les garde longuement en visibilité, sans chercher à les accrocher. Je lâche assez vite Denis, pour me mettre à mon rythme et me régaler sur ces montées / descentes. Petit à petit les rythmes se trouvent. Assez vite, je me fais doubler par Pascal Beurrier et Alexandre Malleret qui restent ensemble et impriment une allure légèrement plus soutenu que la mienne. On fait le yo-yo avec Denis. J’ai un léger avantage sur les côtes où je reprends du terrain sur mes prédécesseurs, mais leur longueur réduite ne me permettront jamais de revenir à leur niveau, d’autant plus qu’ils refont leur avance dans les descentes qui suivent.
A mi-course Denis me dépasse une fois de plus. J’ai une douleur au ventre depuis quelques minutes à ce moment la – heureusement elle s’estompera assez vite. Il restera devant moi jusqu’au bout et j’assiste à un beau duel entre lui et Alexandre Malleret, jusqu’à la fin. Je garde longtemps l’espoir de revenir sur Alexandre Malleret, notamment lors des grimpettes, où j’ai l’impression qu’il n’est qu’à quelques mètres, mais rien n’y fait, il finira une trentaine de secondes devant moi…

J’arrive finalement assez frais, satisfait de ma course, avec le sentiment d’avoir tout donné, et d’être à ma place.

 
Cliquer pour voir la galerie Route dimanche 7 novembre 2010   
ISSOIRE Courir à Yssoire 6° édition Acces Site Web
10 KM
11h00 10 km 47 m Arrivants : 225
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 SUC Patrice 00:32:38 18,39 V1M 1969 ASPTT Clermont Athletisme
2 GUILCHER David 00:33:39 17,83 SEM 1980 Clermont Athletisme Auvergne
3 CHAUSSE Richard 00:34:01 17,64 SEM 1974 Velay Athletisme
11 NETO Victor 00:35:36 16,85 SEM 1971 AS IBM Lyon
14 DEROCHES Denis 00:36:07 16,61 SEM 1979 Non Licencié
155 ALIBERTI Jérome 00:48:36 12,35 SEM 1971 Non licencié
5 KM
10h15 5 km 24 m Arrivants : 86
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 PERRUS Joel 00:16:02 18,71 SEM 1979 Limagne Athletes Endurance"
2 BELAMKADDEM Charaf 00:16:21 18,35 SEM 1985 Non Licencié
3 MAURO Mario 00:16:25 18,27 SEM 1971 Non Licencié
49 BEAUCOURT Jean-Luc 00:22:11 13,52 V2M 1956 AS IBM Lyon

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Victor
 
 

Il y a beaucoup de beau monde au départ de ce 10 km, malgré une météo maussade et pluvieuse. Ca s'annonce intéressant. J'aborde cette épreuve pas vraiment préparé en termes d'entrainement. Aussi, l'espoir de passer sous les 35 minutes reste difficilement accessible, mais on ne sait jamais… C'est en tout cas une bonne occasion de faire une séance de vitesse, et de juger du niveau actuel. Je m'attends à tourner autour de 36/37 minutes. J'ai cependant une douleur au pied droit depuis quelques jours qui ne veut pas passer ; reste à voir si cela va me gêner où pas.
Ca part plutôt vite, même très vite. Je m'efforce à ralentir significativement lors du premier kilomètre, histoire de ne pas souffrir sur le reste de la course. Ce n'est pas facile, compte-tenu de ma fraicheur en ce début de course. Je suis aux côtés de Denis, bien que nous ne fussions pas ensemble sur la ligne de départ.

Entre le premier et le deuxième kilomètre, je commence à m'éloigner de Denis et fait une partie de la course aux côtés de Telmo Fernandez. J'espère qu'on va pouvoir se relayer et avancer ensemble. Nous sommes à proximité de Benjamin Beaume, qui garde cependant un rythme un petit peu plus élevé que le miens. On fera quelques kilomètres ensemble avant qu'il me lâche progressivement. Je le garde en ligne de mire et assiste à une belle remontée sur Benjamin Beaume. Quelle forme !.

Je suis sur cette position, dans les dix premiers, à mi-parcours. Le chrono m'indique 17'29. Je comprends qu'il me sera impossible de battre mon record et de passer sous la barre symbolique des 35 minutes. J'hésite à ralentir significativement. Mais je me raisonne, en tournant les kilomètres 6 et 7 en 3'40 au lieu de 3'30 durant les 5 premiers kilomètres. D'ailleurs un peu après le 6ème kilomètre, je me fais rattraper par Fabrice Lonchambon. Je n'essaye même pas de m'accrocher. Je suis sur une allure qui me convient, avec de bonnes sensations.
Vers le 8ème kilomètre, c'est au tour de Eric Vernet de me dépasser. Sur une épingle sur une partie en terre, je me retourne et aperçois Denis vraiment pas très loin. Je me dis qu'il peut revenir sur moi. Je croise un peu après Stéphane Chantelauze qui me demande où j'en suis du chrono. Je constate que je suis sur un rythme tout à fait correct. J'en profite même pour accélérer de nouveau sur le dernier kilomètre. J'arrive en forme, plutôt satisfait du résultat, sans avoir été gêné par ma douleur au pied.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

J'hésite toute la semaine et jusqu'au dernier moment à participer à l'une des deux courses d'Issoire. En effet, d'une part, la course des carrières by night dans l'Essonne, que j'ai déjà faite à deux reprises, et qui a lieu ce même weekend, me tente énormément et d'autre part, je n'ai depuis longtemps réaliser aucune séance d'entrainement spécifique à une épreuve de 10km. La perspective d'un long voyage jusqu'en Ile de France ayant cependant raison de ma motivation pour la course nocturne des carrières, je décide de me rendre à Issoire, mais sans confiance et en sachant que je risque de passer à travers..

Mon objectif sur la distance est, dans l'absolu, d'améliorer mon meilleur chrono réalisé ici même il y a un an, 35min31s, alors en pleine prépa marathon, et à quelques jours d'une déchirure qui m'avait valu un mois et demie d'arrêt. Aujourd'hui je ne me sens pas du tout capable de réaliser ne serait ce que mon temps 2009, mais j'ai tout de même à cœur de voir ou j'en suis et je sais qu'on est jamais à l'abris d'une bonne (ou d'une mauvaise) surprise en compétition.

Le départ est donné et nous nous retrouvons côte à côte avec Victor assez rapidement. Le rythme est rapide, beaucoup plus que celui de toutes mes séances depuis un mois voire plus, et je ne cesse d'appréhender une future défaillance. Je sens très vite qu'aujourd'hui je ne suis pas dans le coup ni physiquement, ni mentalement car la gnac n'y est pas. Je ne saisis pas " le coche " quand Victor s'échappe et commence à perdre contact doucement mais surement.

Je reste à environ 50m de Victor tout le premier tour et la moitié du second. Fabrice Lonchambon me dépasse vers le km 6 ainsi qu'un coureur que j'avais dépassé vers le km 4, puis c'est Nicolas Fruchart qui me dépose. J'ai alors un regain d'orgueil et l'envie de m'arracher revient un peu sur vers le km 7. Assez brutalement, au km 8 environ, je me mets à avoir la tête qui tourne, puis carrément des vertiges, chose qui ne m'était jamais arrivé en courant. Je manque même de perdre l'équilibre dans le dernier rond point. Je ne me rends plus trop compte de rien et je ralentis beaucoup. L'espace de quelques secondes j'hésite à m'arrêter mais il ne me reste que 700m à parcourir.

Je reprends un petit peu mes esprits et l'équilibre et finis comme je peux, la tête dans la brume, en 36min et 5 sec environ. Cet état durera toute l'après midi et m'inquiète un peu sur le coup, car une simple hypoglycémie se serait estompée plus vite... Je sais en tout cas qu'il me faut absolument travailler la vitesse car il n'est pas normal de courir le marathon seulement environ 1,3 km/h moins vite qu'un 10km, même si l'entrainement et le mental n'y étaient pas aujourd'hui.