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CAP - Saison 2011 - Synthèse Compétition - Victor NETO
COURSE A PIED   2011 - Compétitions
 

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LEGENDES
Satisfait
Mitigé
Déçu
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LE MONT-DORE Le Trail Hivernal Sancy / Mont-Dore 7° édition Acces Site Web
Trail Court
9h00 20 km 880 m Arrivants : 432
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 BIZET Ivan 01:35:19 12,59 SEM 1980 EAMYA
2 DAUMAS Romain 01:39:29 12,06 SEM 1978 Non Licencié
3 BUSSI Franck 01:40:40 11,92 SEM 19 Team Asics
12 NETO Victor 01:49:52 10,92 SEM 1971 AS IBM Lyon
53 DEROCHES Denis 02:06:33 9,48 SEM 1979 Non Licencié
130 PEYSSON Christophe 02:24:06 8,33 V1M 1969 Pass Running
Trail Long
9h00 30 km 1500 m Arrivants : 414
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 MEYSSAT Emmanuel 02:32:44 11,79 SEM 1980 Team Asics
2 BRINGER Patrick 02:37:56 11,40 SEM 1975 Team Platinium Nutrition C
3 FAILLARD Vincent 02:39:34 11,28 SEM 1979 Team Asics

Victor
 
 
Les courses étant rares en cette periode, j'ai une forte hâte d'être sur ce trail. Ce sera ma troisième participation après deux épreuves avec beaucoup de neige. Nous avons donc à faire à une configuration interressante, avec moins de neige, mais où il faudra faire avec des temperatures particulièrement basse. Ce faible volume de neige pourrait jouer en ma faveur rendant l'epreuve moins exigeante en terme de technicité, ce qui est très loin d'être mon fort.

Pour la première fois de ma vie de coureur, je me couvre de trois epaisseurs de vêtements. Et malgré celà, sur la ligne de départ, le froid se fait bien ressentir durant l'attente. J'ai également enfilé mes yak-trak, qui pourrait me servir sur les parties gelées ou avec de la neige dure. Avec difficulté je me place sur la troisième ligne, me faisant serieusement enguirlander par un trailer ne supportant pas que je m'excuse pour passer à ses côtés. Ah le bel esprit du trail et de la course nature amateur !!!! Ou va-t'on ?
Je ne sais pas à l'avance si je pars pour 20 ou 30 km. Le choix se fera en fonction de mes sensations, de la météo, du déroulement de la première partie.

Je pars tranquillement tout en profitant du premier kilomètre descendant pour avancer suffisament afin de ne pas être pris en étau vers le premier franchissement de barrière entre les kilomètres 3 et 4. Ca va plutôt bien. la montée du 2eme/3eme kilomètre passe toute seule. Ca va plutôt bien. Lorsqu'on arrive sur les chemins, il n'y a pas une couche epaisse de neige. Du coup on peut envoyer sans s'enfoncer et dépenser des tonnes d'energie. Je continue d'imprimer un bon rythme. Dés que nous sommes sur des estives, nous devons faire face à un vent glaciale et à des congères sur des petites portions qui font que nous nous enfonçons. Toujours aussi inneficace techniquement, j'ai droit à quelques chutes et pertes d'équilibre.

A l'approche du Lac du Guery, je découvre la nouvelle portion empruntant des sentiers, des petites passerelles et evitant la route. C'est une vrai réussite et un nouvelle emerveillement pour nos yeux, même si elle est plus difficile que l'ancienne qui empruntait la route. Nous croisons quelques promeneurs solidaires nous lançeant des encouragements. Je ne suis jamais seul, il y a toujours du monde devant, derrière ou à mes côtés. Au niveau classement, je suis dans le bon wagon.

Le ravitaillement symbole du choix definitif de la distance arrivant m'oblige à reflechir et faire un choix. Nous avons finalement la chance d'avoir du soleil, ce qui permettrait de profité de la grandeur des paysages offerts par le 30 km. Mais, pour l'avoir fait l'an dernier, il est assez peu abrité et monte assez haut en altitude, d'où des chances de devoir lutter contre le vent et le froid. Depuis deux mois, mes entrainements sont assez pauvres en sortie longue, aussi je risque de souffrir. Etant pas mal classé, dés que j'arrive à la bifurcation, je me lance sur le 20 km, sans même m'arrêter au ravitaillement, histoire de jouer une bonne place au scratch. Je continue donc à envoyer. Mes yak-trak sont à moitié enlevé de mes chaussures. Je ne prend même pas la peine de m'arrêter pour les remettre en place et m'en accomode quitte à perdre de l'efficacité.

Assez vite on retrouve des portions avec pas mal de neige, d'ou instabilité et du froid. Je me dit que j'ai bien fait d'opter pour ce parcours. Je suis seul depuis pas mal de temps. Devant les conccurents ont l'air loin. Idem derrière. Je continue à me prendre quelques gamelles dans la neige. Il y a aussi des passages avec beaucoup de glaces donc pas facile à négocier. Sur la première descente 3 personnes me rattrapent successivement. Ce n'est vraiment pas mon truc même si j'ai l'impression d'avoir progressé dans ce domaine. Je reviens vers eux avec les côtes et le plat. Sur les 4-5 derniers kilomètres, David Billonet arrive à mes côtés. Il est sacrément revenu en forme. Nous en profitons pour discuter et ainsi la dernière côte assez fastidieuse passe plutôt bien. Il ne veut rien lâcher. Dés que je met un pas devant lui, il accélère pour refaire le trou.

La fin arrive avec dans la descente du dernier kilomètre un traditionel torrent de boue remplacée par de la glace avec passage obligatoire sur une corde. Je continue à fond et reviens sur mes 2 prédecesseurs ou nous terminons à trois dans un intervalle de 4 secondes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

Arrivant convalescent d'une gastro-entérite contractée jeudi soir et qui m'a réduit à l'état d'ectoplasme vendredi, à peine bon à tenir debout, ma participation était encore irréaliste vendredi soir. L'envie de prendre part à la " fête " étant quand même grande, je me dis alors que je viendrai au moins en spectateur... La fatigue superficielle disparaissant cependant assez vite une fois la crise passée, je décide samedi après midi de prendre le départ, pour le 20 km évidemment, n'ayant certes que peu de doute quand à ma forme.
Température glaciale au départ, mais soleil en perspective. Je suis Victor prêt de la ligne, histoire de ne pas trop bouchonner dans les premiers monotraces, et avec un minime espoir que la fatigue disparue me permettrait de m'exprimer.

Hélas dès les premiers hectomètres je comprends ma méprise. Brulures d'estomac immédiates et rien dans les jambes. Impossible de suivre les 30 ou 40 premiers, je plafonne alors que je suis en footing. Mentalement c'est plié, je suis en " rando ".Les 5 premiers km sont douloureux. Une cinquantaine de personnes me double, je marche trois quarts du temps en montée. J'ai même envie de revenir sur mes pas car j'ai peur de me faire plus de mal qu'autre chose. Puis je me fixe l'objectif d'arriver au premier ravito et de rentrer par la route...Et une fois que j'y suis, je me dis, qu'au moins, finir me permettra de connaître la version 20 km, surtout aujourd'hui où le soleil rend le panorama magnifique.
Le reste est anecdotique, je me traine et n'ai aucune bonne sensation. Quelques côtes faites en courant sur la fin pour se motiver et rester devant la seconde féminine, une ou deux descentes où je me lâche un peu mais rien d'autre.

En tout cas une course très prisée, à en voir le plateau de grosses pointures et la très forte proportion de participants non auvergnats. L'ambiance Mont Dorienne me plait toujours autant mais je crois quand même préférer les conditions estivales.

 
Route samedi 8 janvier 2011   
CHAPPES La Course des Rois 3° édition Acces Site Web
La Course des Rois
17h00 5 km 15 m Arrivants : 153
Nom Prenom Temps Vit. Cat. Naiss Club
1 GROLLET Laurent 00:15:51 18,93 SEM 1977 Pass Running
2 PERRUS Joël 00:15:55 18,85 SEM 1979 Limagne Athlete Endurance
3 HARTMANN Nicolas 00:16:21 18,35 SEM 1985 Limagne Athlete Endurance
12 DEROCHES Denis 00:17:12 17,44 SEM 1979 Non Licencié
13 NETO Victor 00:17:15 17,39 V1M 1971 AS IBM Lyon

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Denis
 
 

Comme en 2010, la course de Chappes est l'occasion pour moi de me tester sur la distance, assez rare au calendrier, de faire une séance de vitesse, et d'essayer d'améliorer mon modeste chrono référence, espérant le porter à 17min.
Je ne me sais pas dans une très bonne période, après le " saintélyon blues " et la perte de motivation qui a suivi. Ne voulant pas arriver en touriste, j'ai réalisé les semaines précédentes, plusieurs, peut être trop, de séances type VMA courte ou moyenne, dont les chronos, moins bons qu'à certaines périodes de l'année précédente, ont confirmé mon manque d'envie, si ce n'est de forme.

Au niveau de la course elle même, les sensations n'ont pas été bonnes. Malgré un premier kilomètre trop rapide, j'ai l'impression de me trainer, ma foulée me semble lourde, pas efficace.
Je trouve cependant assez vite ma place et reste avec F.Bulidon et JP.Limouzin, je crois, du km 1 au km 4 environ. J'ai toujours cette impression d'être scotché au bitume mais résiste finalement assez bien, et parvient à ne pas décrocher du groupe.
Sitôt le km 4 passé, JP Limouzin semble accélérer et je le lâche prise. Comme l'an dernier au même moment je n'ai pas la gnac de m'accrocher, et passe mon temps à me retourner pour contrôler que personne ne revienne de l'arrière.
Un coureur en blanc, que je reconnais, C. Monturet, fond pourtant sur moi, et je ne peux l'accrocher quand il me dépasse. Avec un peu de recul je me dis que j'aurai pu au moins essayer de m'accrocher pour qu'il me tire, mais au lieu de cela je me suis laissé rouler jusqu'à la ligne voyant que personne d'autre ne pourrait me reprendre.

Ce type de course dont j'ai peu l'habitude ne m'a guère plu aujourd'hui. Faudrait-il que j'en fasse plus pour progresser ? Ou serait-il nécessaire que je fasse moins de longue distance, de trail ?
Surement, mais pour le moment je préfère toucher un peu à tout.

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Victor
 
 

Il y a presque un an sur cette épreuve qui est mon unique 5 km annuel en compétition, je terminais à 17'18", alors que les conditions météos étaient défavorables avec beaucoup de vent. Passer sous la barre des 17' me semblait donc complètement réaliste, d'autant plus qu'en ce samedi, les conditions météos étaient idéales, avec 14°c et pas de vent.
Comme chaque année ici, on retrouve pas mal de beau monde, c'est vraiment sympathique et contribue à donner une très belle ambiance. Ca part plutôt rapidement, et je tombe un peu dans le piège de ma fraîcheur, lorsque je regarde mon chrono au bout d'un kilomètre à 3'05". Je comprend déjà mon erreur. Ce sera difficile de garder une allure constante.
Je maintiens un rythme honnête, je ne souffre pas, mais je semble comme bridé, au bout de mes capacités, comme si j'étais à mon maximum avec plus aucune marge de progrès. Le résultat du jour est sensiblement le même qu'il y a un an, me donnant le sentiment d'être à ma limite, avec un passage sous les 17' inenvisageable à moins éventuellement de consacrer tous mes entraînements à de courte distance sur route. Ce n'est pas mon souhait (du moins pour le moment), j'ai choisi la polyvalence avec tout type de terrain et de distance, quitte à ne plus progresser...